19 décembre 2019
LE MARCHE AUX ESCLAVES
Nous sommes tous otages/esclaves du marché. La souveraineté du client n’existe pas. Pour se réaliser celle-ci nécessite l’abondance. Or, depuis un demi-siècle (1973 précisément), les marchands-gardiens du temple répètent à qui veut s’y résigner que l’Occident est « en crise ». Dans ce contexte, il leur est facile de justifier les royales ordonnances qui sacrifient sur l’autel de la Sainte Dette l’agneau du Pauvre dont le sang ruisselle dans les calices dorés des Paradis fiscaux.
Publicité
Publicité
Commentaires